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Archive for the ‘crache-venin de voyage’ Category

J’ai des idées
Les idées claires
Les idées farfelues
Les idées noires
Et des idées saugrenues
Nues et sauvages
Terre
inconnue, mon imaginaire qui vagabonde dans quelques territoires
étranges où maraudent les tigres ailés, les dames serpents
Et les les âmes seules comme moi
Un monde virtuel
des rencontres factices croire se connaître
Puis finalement se retrouvé prise dans une toile
Toile blanche comme mes souvenirs
Des idées de  bijoux
Des idées de mots doux
Les maux aigres
Et pourtant dire que l’on se sent allègre comme le tempo
Trop jouer sur les mots
Se cacher pour oublier  ses maux
Les mots-valises
Les mots-barrières
Les mots-colères
La pureté dont on rit
La pureté qui n’a qu’un avenir vicié
Les ailes blanches
Les ailes noires
La glace polluée
Ne plus rien découvrir
Le bruit et la fureur
La fureur de l’absolue solitude
Solitude choisie ou subie au fond peu importe
La porte toujours close.

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Je n’avais pas scribouillé depuis pas mal de temps, il faut dire que le boulot est vraiment prenant, je ne me plainds pas.
Bienvenu chez Avis…
Et à part ça? Pas grand chose je n’ai donc pas beaucoup de temps mais sur le parking on a du temps pour réfléchir, et scribouiller (mazette)

Le 14/12/07
"Toujours à attendre je ne sais quoi
A gauche
La bodega
Une musique, programmation
Rien à dire et la fatigue qui ne soulage guère, recherche
Recherche vaine
Les pensées allant plus vite que la main, une recherche
Et le froid qui paralyse
Mais jamais de dommages
Les tourments et ces peines si étranges
 Machine dans le ciel
Oiseau bleu
Te reconnais-tu dans cette effigie de glace?
Non plus, non guère, que dire?
Les mots…"

"La croix et son chemin
Le lieu, cette montagne d’Améthyste et le glacier
Un lac Lapis-lazulis
Et tes yeux si semblables
Tu erres profane dans ce désert de glace
Les labyrinthes glaciaux où l’Eté a définitivement cédé la place à  l’Hiver
Les roses blanches et bleues
Les Lys rosés assoiffés de sang
Eden meurtrier pour celui ne sachant les dompter
Les fleurs cruelles
Nymphes de glace dans leur fourreau de neige et d’argent
A la recherche de ces joyaux de vie
Ta blanche amie la lune d’ivoire tu consultes
L’ambroisie bois et enivres toi avant d’affronter tes pires démons
Ton reflet dans ce miroir déformant
L’ombre de ton ombre
Ta némésis
"

Le 15/12/07

"Le miroir d’eau la glace de verre
Et ton reflet déformé sous leur éclat
Je ne sais plus à quoi ressemble mon être
J’ai brisé tous les miroirs de crainte de me voir et maintenant…
L’effort, la contrainte
Ton corps qui me force, la douleur
Bien que tu m’assures de ton amour
Ta poupée , ton jouet  je suis
Un enfant cruel tu es
La résistance  et la douleur."

"Pourquoi me fais tu du mal ainsi, à quoi bon
De mon sang tu te repais
De mon sang tu me vides
Poupée exsangue
En détresse respiratoire
Cet oxygène dont tu me prives
Me soumettre par la force
Drastiques les mesures
Cherches- tu à me blesser?
Pourquoi prétendre le contraire
Ta contrainte, ton désir
Un poids dont tu m’accables
L’effort et résister mais le sentiment qu’il n’y a pas d’issue
Une cage où tu m’enfermes
Et ton jouet je reste jusqu’à ce que je ne sois plus qu’un pantin désarticulé pour lequel tu auras perdu tout intérêt
Pourquoi?"

"Ta  marque j’accepte
Tes règles j’ai joué malgré les craintes
Alors pourquoi pusser aussi loin et me blesser
Me briser les ailes pour être l’oiseau sans défense
L’âppat que tu dévores sans état d’âme
Pourquoi ces règles cruelles?
Un jeu dont tu ne m’as pas donné les règles
Un don, le vol
La crainte et la blessure
Je te crainds marionettiste
Tes fils, tu me ligotes et un pantin assujetti je deviens
Me blesser pourquoi?
M’avillir pourquoi?
Amour que je ne comprends pas
Un mot  usé  et abusé dans ta bouche
Tu parles d’amour
Il n’y a que possession sans rédemption
Sans échange
Tu me souilles mon ange
Ange déchu, la mort, la couronne
Le joyau à  ta tête fière, un jouet entre tes mains
Pour m’assujettir
Sans espoir et sans lendemains
Enfermée dans cette cage
Ton jouet, ton pantin, ta poupée
Te lasseras tu?
Si oui me délivreras tu?
Pourquoi cette épée qui me blesse
Me marquer au fer rouge
Ta chose
Je te hais autant que possible mais t’échapper je ne puis
Je te hais et  je t’adore
Mes sentiments n’ont plus de sens
Le mélange et la confusion
Une saveur amère comme ce sang qui coule
Laper le long du cou et ne laisser aucune trace
Frisson des canines se fermant contre ma gorge
Le coeur palpitant
Le sang coulant
La libation dont tu t’enivres."

"La recherche vaine d’un Eden promis
A deux, seul, solitude
La meilleure des voies
Tu me brûles, me blesses
Sans la moindre honte
Ma faiblesse, en abuser
Te faire confiance, plus jamais
La souffrance exquise
Plus que tout te craindre
Caméléon, toute forme tu prends
Me tromper, m’apaiser, me blesser
Ton antre, un riche lieu
riche de la souffrance de tes victimes
L’or rouge
Le sangLa vie et la mort
L’amour que tu prétends
Ton jeu favori, les sens tu t’enivres
La recherche exquise de la faille
Et y pénétrer sans laisser la moindre chance
Le gémissement de douleur, ta délectation
Le gémissement, un soupir, tu réponds à l’unisson
La chair du sacrifice  tu goûtes et dévores avec délectation."

Je reconnais que c’est un brin glauque pour les quatre derniers heu….Confus

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Et oui, une nouvelle page d’écriture automatique datant du 20/7/06 alors que j’étais dans un train pour Toulon…
Je n’ai qu’une seule chose à dire vivement d’autres congés, m’enfin bref ça ne fait pas sérieux de dire ça…. Au moins je peux dire que j’ai profité de mes tous premiers congés….

 
Un train, une ville
True colours, see your true colours
Ne pas être effrayé de laisser les gens voir à travers ma carapace
Apprendre à faire confiance
Tellement envie, plus qu’un arrêt j’en suis aise je ne peux plus supporter les longs trajets
L’avion
Les sous, leroux, chicorée?
Pourquo cette pensée?
Du café
True colours et la chaleur
Marseille, enfin limite de l’attente
Une tante
Un bout de chou
Et moi dans tout ça? Qui suis je?
Un feu follet
Une vierge folle
Folle d’ennuis et de crainte
Ne pas laisser voir les cicatrices
L’attente sous une tente
Cicatrices inconfortables de dix ans d’âge
Si long, tourner la page
Envie de la tourner
T’oublier Sébastien
T’oublier définitivement et enfin aller de l’avant
Je ne me sens pas forte et pourtant je voudrais
Your true colours like a rainbow
Arc-en-ciel et doigts de pied en éventail
Désirer des vacances du repos, les miennes sont bientôt finies
Reprendre le boulot
Pas envie, pas envie…

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Sensations étranges
Obligation de porter un masque
Littérature et des mensonges
Illusion d’un soir et croire à un bonheur qui n’est plus qu’illusoire
Tentation de hurler ma détresse
Unique dans un monde multiple
Désir d’un bonheur hors de ma portée
Errance d’un coeur déjà à moitié desséché.
 
 
(Equivalent: esseulement, solitaire, isolement; English: loneliness)

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Juste un regard, une étincelle et le néant
Deux autres flammes qui éclipsent ma petite étincelle dans le regard
Te retrouver à nouveau
Mais déjà une autre flamme te lorgne et t’accapare
Un amour mort-né qui n’a jamais eut raison d’exister
Déjà le monde tourne et il faudrait que je passe à autre chose
Aller de l’avant
Narnia, un monde étrange ma foi
Un monde de papier et d’encre, l’illusion et le manque
Monde des rêves morts et vivants à la fois
Juste des rêves  dans lesquels je flotte et je me noie
Chat errant, chat perdu
Désir d’être recueilli mais un rêve resté vain.
 

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I
 
 
Une belle lettre de belles courbes
Une lettre bien formée et déjà l’on te sait bien né
Solitude de l’étude où je passe tout mon temps libre
L’étude qui comble le vide du coeur
Sans coeur
Une belle lettre écriture bien formée
On te sait érudit
Mais combien de solitudes peux tu te targuer d’avoir épuisé?
Dans ta chambre noire tu développes les épreuves
Un monde noir edt blanc
Un étrange négatif
Un monde sans couleur dont l’arc-en-ciel a été ravi
Une porte, mon miroir
Une porte, la clef, l’écriture inversée
Une clef sanglante que tu traces
Signature du pacte entre ce monde et l’ancien
Signature du rêveur
Du rêveur qui a trouvé la porte
Une nuit de lune pleine quand elle se reflète dans le miroir
Rêveur pourras-tu mener cette mission jusqu’à son terme?
 
 
II
 
 
Un monde nouveau, tout beau
Mais  prends garde
Prends garde aux faux-semblants qui t’attirent et te rejettent
Prends garde à cette fausse porte et aux mauvais rêveurs
Hérauts sans couronne des cauchemars qui nous rongent
Un cauchemar, une pellicule de glace
Un dragon et son engeance endormis
Deux compagnons dans une grotte retirés
A la recherche de ces alliés potentiels attèle toi
Tant de temps perdu, qu’attends tu?
Un compagnon de roche
La compagne de lumière
Le voleur d’émeraude, héros malgré lui
Une tour de jade où retrouver ces cristaux d’étoile et ce sommeil qu’il faut secouer
Dame dragon à elle présente tes hommages, craint  son courroux et défie ses ennemis
Un rébus qu’il te faudra déchiffrer
Une litanie à ignorer
Des croisées de chemins
La mort ou la gloire et un autre lieu
Le choix toujours, le choix si lourd.
 
 
III
 
 
Un lion rouge et or
Une chanson que j’écoute
Le coeur, coeur d’albâtre
Pâtre pâle et étoiles
Etoiles et mondes lointains
En guerre, en paix
L’horloger céleste, et lui même n’est pas en reste
Coeur de dragon, coeurs de fer, ventre d’airain
L’errance sans fin
Un voyageur errant de mondes en mondes
une recherche, une quête
Mondes perdus, continent de Mû
L’impression d’oppression
L’impression de trahison
Borgia, Mafia
La main-mise, un pugilat
La crainte d’errer et de ne jamais s’y retrouver
Un labyrinthe
Ton corps tatoué
Un labyrinthe de verdure
La froidure qui perdure
La recherche de cet Eden
Illusion et recherche
Un cristal des cristaux
Un corail des coraux
Le fond de la mer bleue et turquoise
Azur et lapis lazulis
Une civilisation engloutie, une cité au fond des océans ne ressurgissant qu’une fois l’an
Equinoxe et solstice
Les printemps et les saisons
Rester dans les tons
Tons de rouge, la colombe et le faucon
Une croix marbrée, un mausolée ouvragé
Ton tombeau, ma demeure, le tumulus des contraires
Porte vers ce monde rêvé et les rêves de dragons
Dragon d’été, de printemps
Dragon d’hiver et d’automne
Tous opposés ils sont pourtant la somme
Somme d’un savoir à double tranchant
Du sang sur cette table, ton esprit errant sans fin
Ectoplasme et larmes
Sensation d’inachevé et la crainte de la solitude
Soeur-âme, le feu et la glace
Deux coeurs dans un miroir si proches et pourtant séparés par cette pellicule de glace
Glace à la vanille
Vanille des îles
Iles du mystère, un volcan, une prédiction
Un vaisseau volant
et le fleuve du temps et d’éther
Mer d’huile et de lave incandescente où tu te plonges pour retrouver ton essence
Des flammes régénératrices
Un phoenix
 
 
IV
 
 
Fatigue, la cité d’or et d’argent
Un sommeil éternel et cette malédiction que l’élu doit briser
La dragonne, le sceau à briser
La recherche d’une fleur rare et chère, chère à mon coeur
Un rêve étrange
Etranger dans un monde que tu ne connais pas
Des règles que l’on ne t’a pas données
Aisance de la panthère d’onyx
Les montagnes noires et la statue d’or rouge
L’orichalque, un puzzle
Une carte  à  reconstituer
La recherche et la voyance
L’espérance, la tolérance
Et recherche un sésame
Les grottes de la Moria, un secret dans leurs entrailles
Je cherche ce secret
L’eau bleue et le bijou
Les coraux, j’oublie
La mémoire qui joue des tours
Dormir d’un sommeil sans rêve
Rêve du lotus que j’ingère
J’ingère cette substance du rêve
Je te recherche par monts et par vaux
Une recherche vaine
Trouver ma propre voie
Peur de se tromper
Mais trouver le courage de recommencer
Une main tendue, aurais-je trouvé l’élu?
Un étrange espoir
Une étrange recherche mais la maladresse
Si loin de toute civilisation
Une cité sauvage où règne l’airain et les bêtes sauvages
Félines et câlines pour ceux qui ont trouvés les clefs
Recherche de la clef sanglante
Une barbe bleue et un ogre cruel
Les contes de fées, un compte défait.

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Aller de l’avant, aller céans et un peu n’importe comment
Un brouillon je suis pour que l’oeuvre finale puisse enfin voir le jour
Sentiment de solitude, les turpitudes
Et quelque part l’aigreur
Où est donc cette âme-soeur dont les écrits parlent?
Pas pour moi en tout cas
Pourquoi? Ternissement et flétrissement
Juste le sentiment d’être délaissé, au rabais pour que le chef-d’oeuvre puisse enfin voir le jour
Un papier gribouillé et défait pour que la belle lettre puisse enfin prendre corps
Mon corps
Une occasion, une seconde main au rabais dans un coin
Un coeur aigrit tout flétrit
Délaissé dans l’oubli
La solitude et ses turpitudes chercher un dérivatif
Chercher l’oubli, chercher la quiétude parmi cette solitude du coeur
Isolement parmi les êtres
Que rechercher? Au diable le paraître ou l’être
Cacher ce que l’on est car il en est ainsi, pas d’endroit pas d’abri
Et la pluie qui ruisselle sur mon visage
Brouillant les traits d’un dessin depuis longtemps délaissé dans un coin que la pluie dilue.

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Un lys blanc, un lion blanc
Et un symbole étrange que je ne peux déchiffrer
Quel est donc ce tourment qui me hante?
Cette crainte d’être jugée?
Un dessin, un symbole
Alchimie qui caracole
Un carnaval et tous ces visages blâfards que j’évite mais que pourtant j’imite
Une clef mystérieuse, mais invisible, celle d’ un coeur? Le mien?
Je mets quiconque au défi de le pénétrer
Un bloc de glace et cet hiver, un immense fossé entre moi et le êtres
Le paraître
Paraître, parfaire, défaire
Les trois phases de la lune
Queen moon et la disparition
Oblivion
Such a strange feeling
I don’t know how to feel
Happiness, sadness all of them are the same to me
Maybe a desire for the infinite and the ultimate chaos, maybe a regeneration
Renaissance ou profonde essence?
tant de questions qui resteront sans réponse
Un puzzle dont les pièces éparses refusent de se mettre en place
Un  puzzle en morceaux, tant de mots
– féline –
Une musique dans ma tête en sourdine je la répète
Sourde au monde extérieur, une bulle protectrice contre moi contre vous
Crainte de l’inconnu
Crainte humaine et tellement vaine, je me perds
Un labyrinthe
De l’asphalte et le vert recouvert de gris
Comme ce ciel que j’observe, malgré ces timides rayons, soleil tu te caches
Ma déraison
Je déraisonne, je fanfaronne
Une façade de clown sur un visage triste, besoin d’abscinthe
La fée verte, la souris, un conte , le décompte, le temps qui passe
Marquant le monde de son empreinte
Des échecs, un jeu de go, un fantôme
La crainte de l’inaccompli
La tristesse peut être la paresse?
Non, une crainte
Un masque de clown, un visage de Venise lisse et blanc, un fantôme qui erre
– j’erre –

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Un peu d’écriture automatique datant du 3/2/6…
 
 
I
 
Les ethers, une mer mercure
Un bâteau fantôme qui erre  dans les limbes glacées
Bulles  de mondes, bulles de temps
De mon bâteau fantôme je vois tous ces mondes si différents  juxtaposés, si proches et pourtant si lointains
Posés les uns à côté des autres mais ne se connaissant point
Je erre de monde en monde dans mon navire fendant la mer mercure si brillante et si froide
Un monde vert, une odeur de  cuir qui m’entoure
Des lèvres sur ma nuque
Une autre paire embrassant mon front
Trois corps et un seul coeur si proches tellement proches
Mais déjà je m’endors à regret
M’eveillant dans cette réalité glacée  qui m’étreind  comme un linceuil
Un sommeil induit par les narcotiques et je navigue sur cette mer mercure si liquide
Loin, loin de ces basses préoccupations matérielles qui depuis longtemps m’ont lacérées les ailes
Ailes en lambeaux
Tant de mal à les recoudre
Mais je sens  déjà la douleur de mes ailes qu’éternellement on déchire
Du sang
Un sang noir, la guéhenne et la tristesse
L’odeur du cuir qui s’éloigne et les bulles de temps qui éclatent
Un néant glacé où je m’engloutis, le mercure qui m’entoure
Le vaisseau fantôme qui se dissout dans cet éther
La réalité amère, mes jumeaux
 
Je ne sais vraiment pas où j’ai pu lire cette histoire de mondes enfermés dans des bulles et coexistant les uns à côté des autres sur une étendue de mercure, ignorant tout les uns des autres… C’est bizarre cet idée, mais au moins je la trouve jolie…
On s’occupe dans un train comme on peut.
 
II
 
Un  rideau blanc dans ma chambre
Du sang rouge sur le lit
Je me sens trahie
Trahie par toi
Pourquoi me faire souffrir et t’amuser ainsi?
Le rideau s’est déchiré, un voile noir
Je ne vois que ton regard rouge et noir
Des griffes, la chair déchirée
Pourquoi me faire souffrir ainsi?
Du noir, du rouge de l’or, du sang , de l’or
Le métal qui déchire ma chair
Un diagramme, l’impossibilité de bouger
Pourquoi?
Du sang, le rouge et le métal
Un objet je devins
– cruauté et cynisme –
 
Et ben comme diraient les anglaises "sorry I’ve got my PMS"  en effet je me sentais pas bien du tout…
 
 
 

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Et voilà une nouvelle petite page sur de l’écriture automatique… Avec FMA dans les oreilles… Cette fois-ci ça date du 1/6/5 au moment où je travaillais à Revel au lycée Vincent Auriol…
 
Coraux et couleurs, je ne sais que choisir
Coraux et couleurs, chaleur
Se sentir obligé de mentir
A  tes caresses j’aspire
Ton parfum m’inspire
Cet élan du corps me fait honte, perte de contrôle et crainte du tollé
Mensonges et songes, à qui dois je me fier?
Me défier, je crainds cette opprobe
S’ils savaient cet orbe de sentiment que mon coeur abrite
Saison, raison nul ne semble me voir, un éternel hiver.

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